Vous connaissez la blague du mari qui accepte d'être branché à une machine capable de faire passer au père les douleurs ressenties par une femme en train d'accoucher? L'infirmière règle d'abord la force de l'appareil à 10% de sa puissance. L'homme ne bronche pas. Elle augmente à 30%. Pas un cillement. Puis, jusqu'à 50%. Mais l'homme ne réagit toujours pas. Agacée, elle tourne le bouton au maximum, libérant une force capable de propulser un pachyderme à travers le chas d'une aiguille. Le père présumé s'exclame alors : « Ce n'est rien, ça! J'ai bien plus mal quand je me coupe les ongles d'orteils.» De retour à la maison, le couple trouve le laitier mort sur le pas de la porte. En plus de faire écho à cette nouvelle tendance qu'ont les hommes à vouloir des preuves de leur paternité, cette blague suggère que le « sexe faible » n'est peut-être pas celui qu'on croit. La plupart des gens pensent que les femmes tolèrent mieux la douleur que les hommes. C'est peut-être parce que les femmes enfantent dans la douleur ou encore que les hommes se conduisent comme de grands bébés quand ils sont malades. Mais s'agit-il d'un fait ou d'un préjugé?